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samedi 24 décembre 2011

LE PRIX DU DUC D'EDIMBOURG

Le Prix du Duc d'Édimbourg / The Duke of Edinburgh's Award - a set ...
La criminalité mondialement organisée
L’ ECONOMIE SOUTERRAINE DE LA DROGUE
Depuis plusieurs dizaine d'années, la CIA organise un trafic de drogue au niveau mondial.

Deux agents de la S. E. malienne trafiquants



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L'agence de renseignement Américaine est depuis des années à l'origine, tout aussi bien complice, et un partenaire actif dans l'entreprise criminelle du trafic internationale de la drogue. Surtout par le soutien logistique qu'elle apporte pour assurer la circulation des cargaisons et pour les faire entrer aux Etats-Unis et en Europe.

Pour donner une perspective plus large sur la situation, il faut savoir que le rapport entre "agence de renseignement" et "trafic de drogue", avait toujours existé jusque-là. Depuis l'interdiction des stupéfiants en 1920, des accords entre les fournisseurs de drogues et les agences de renseignement ont protégé le trafic mondial des stupéfiants.
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Le trafic organisé pendant la guerre du Vietnam.

Nous avons peut être là, un des plus grand secret de la guerre du Vietnam. C'est grâce à cette guerre, que LONDRES via la CIA a pu prendre le contrôle du "Triangle d'Or" au cours de cette période. Ensuite, avec l'aide de différents éléments du crime organisé, ils ont expédiées d'énormes quantités d'héroïne provenant de cette région vers les Etats-Unis et l'Europe.

Le transport de la drogue par la CIA. La CIA utilise principalement des avions du gouvernement ou des forces armées, de différente contenance, pour faire entrer la drogue aux Etats-Unis. Les documents d'un procès révéleront que l'agence a employée des avions militaires camouflés aux couleurs du service des forêts (le "US Forest Service", qui s'occupe des gardes-forestiers, des RANGERS et de la surveillance des parcs nationaux). Mais elle emploiera aussi carrément des avions "gros porteurs". Avec la guerre anti-terroriste et l'invasion du G-8 ern Afghanistan, les régions frontalières du Pakistan et d'Afghanistan deviendront alors le premier producteur mondial d'héroïne, fournissant 60% de la demande Américaine. Et au Pakistan, la population toxicomane passera de près de zéro en 1979 à un million deux cent mille en 1985. La CIA se retrouvera à contrôler ce trafic d'héroïne.


Les Rangers canadiens garantissent une présence militaire dans le Nord canadien.

CIA " Cocaine Import Agency " (" Agence d'importation de la cocaïne "). Au Laos, au début des années 1960, la CIA s'est montrée à la hauteur de cette double réputation : son meilleur moyen de recruter les Meos pour combattre le mouvement anti-impérialiste et anticapitaliste du Pathet Lao (2) était de faire transporter, par la compagnie aérienne Air America dont elle disposait, d'énormes récoltes d'opium payables au comptant de leurs villages reculés jusqu'aux grands marchés. Lorsque cette histoire est devenue publique, la CIA a admis être au courant que les Meos transportaient de l'opium par Air America et a prétendu avoir tenté de les en empêcher mais que, comme on sait, ce n'était pas là chose aisée. Les pilotes de la CIA ont, en fait, par la suite raconté qu'ils avaient eu ordre de leurs supérieurs de ne pas se mêler de leur cargaison. Comme Alfred McCoy l'a démontré, la production d'opium par des seigneurs de guerre soutenus par la CIA en Asie du Sud-Est a été multipliée par dix après que celle-ci soit entrée dans le jeu. Dès les années 1947-1950, la CIA a recruté des maffiosi siciliens et corses et leur a fourni de l'argent et des armes pour briser les grèves des dockers que soutenaient les syndicats français et italien dirigés par les communistes. En échange, les gangs avaient les mains libres pour transporter l'héroïne dont une grande partie aboutissait aux États-Unis.

Suite aux attentats de 2001 aux Etats-Unis, le gouvernement Britannique de Tony Blair, s'est vu confiée par le "G-8" (le groupe des principaux pays industrialisés) la tâche de réaliser un programme d'éradication des drogues, qui, en théorie, devait permettre aux agriculteurs afghans de passer de la culture du pavot à des cultures de substitution. Les Britanniques travaillaient de Kaboul en liaison étroite avec l'Opération confinement", de la DEA Américaine.
Le programme Anglais d'éradication des cultures, parrainé par les pays occidentaux n'était en fait qu'un écran de fumée. Depuis octobre 2001, la culture du pavot n'ayant fait qu'augmenter. La présence des forces d'occupation en Afghanistan n'ont pas abouti à l'éradication de la culture du pavot. Bien au contraire.

Le Prix du Duc d'Edimbourg et les rangers CANADIENS

NOS FRÈRES ET SŒURS AUTOCHTONES SE TAISENT ET SE FONT AINSI COMPLICES

‘’Pour entrer à la Texas Ranger Division ou autres divisions mondiales des Rangers, il faut avoir réussi l'examen d'entrée. Et savoir tirer, connaître les rudiments du droit. Être d'une moralité exemplaire, avoir foi en son pays, respecter son drapeau et son Président…. Donc être fasciste-de-droite… Bref, ne pas être un gauchiste.’’ Donc, pour eux il ne faut pas défendre le Peuple mais hélas que l’État, maintenant vous comprenez combien le peuple est démonisé par le gente militaire facile à acheter pour un job de tueur. (soldat)



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Vous allez comprendre pourquoi la monarchie britannique donne autant d'argent aux Autochtones : c'est que Londres utilise de ces Indiens pour son Commerce Mondial des drogues et pour nous surveiller















La plupart des Rangers canadiens deviennent officiellement membres de l’Armée.



Force opérationnelle interarmées du Nord (FOIN)

De nombreux Rangers canadiens du 1 GPRC sont des Inuit dont la langue maternelle est l’Inuktitut. D’autres parlent le déné ou d’autres dialectes.

Leur travail consiste à faire des patrouilles de souveraineté, à inspecter l’équipement du Système d’alerte du Nord et à guider des membres des Forces ARMÉES canadiennes dans des exercices terrestres.

La Force opérationnelles interarmées du Nord (FOIN) est le secteur d’attache du 1er Groupe de patrouilles des Rangers canadiens (1 GPRC); il comprend le Nunavut, le Yukon, les Territoires du Nord-ouest,et le nord de la Colombie-Britannique.


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Son quartier général se trouve à Yellowknife, dans les Territoires du Nord-Ouest.


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Les Rangers canadiens du 1 GPRC surveillent les frontières du Nunavut, du Yukon, et les Territoires du Nord-ouest,et le nord de la Colombie-Britannique. Le 1 GPRC comprend plus de1 500 Rangers canadiens répartisdans 56 patrouilles ou communautéset plus de 1 500 Rangers juniorscanadiens répartis dans 35 communautés.

Les Rangers canadiens du 2 GPRC surveillent les frontières du Québec, ils ont reçu la mention élogieuse du CEMD (Chef d’état-major de la Défense) ....... Son quartier général se trouve à Saint-Jean.


Les Rangers canadiens du 3 GPRC surveillent les frontières de l'Ontario, il comprend 422 Rangers canadiens et 303 Rangers juniors canadiens répartis dans 15 patrouilles ou communautés.


Les Rangers canadiens du 4 GPRC surveillent la Colombie-Britannique, le nord de l'Alberta, la Saskatchewan et le Manitoba. Son quartier général se trouve à Victoria (C.-B.). Le 4 GPRC empêche les malheureux pauvres immigrants d'entrer chez-nous. Il comprend 695 Rangers canadiens répartis dans 38 patrouilles ou communautés et 324 Rangers juniors canadiens répartis dans 17 patrouilles ou communautés. Les Rangers canadiens de la Colombie-Britannique ont beaucoup aidé la Gendarmerie royale du Canada (GRC) et les autorités policières locales à patrouiller les eaux et la côte ouest du Canada. Les Rangers canadiens ont contribué aux efforts de lutte contre l’entrée illégale d’immigrants chinois au Canada.


*** Quand Londres utilise de nos Indiens pour nous espionner et nous empêcher .....

5e Groupe de patrouilles des Rangers canadiensLe Secteur de l’Atlantique de la Force terrestre (SAFT) est le secteur d’attache du 5e Groupe de patrouilles des Rangers canadiens (5 GPRC) et il comprend Terre-Neuve et le Labrador. Son quartier général est partagé entre Halifax (Nouvelle-Écosse) et Gander (Terre-Neuve). Le 5 GPRC comprend 743 Rangers canadiens répartis dans 30 patrouilles ou communautés et 266 Rangers juniors canadiens répartis dans 12 patrouilles et communautés.Les Rangers Canadiens du 5 GPRC sont des gens de métiers de même que des bûcherons et des pêcheurs d’expérience, comme leurs homologues de la côte ouest. Ils participent notamment à des patrouilles côtières.


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IL Y A DES DIVISIONS DES RANGERS AUTOUR DE TOUS LES PAYS ENTRE LEURS FRONTIÈRES. L'ALLIANCE INTERNATIONALE DES ÉTATS engage des ''nonames'' pour surveiller les Frontières de partout.

En voici quelques uns de ces Rangers

Texas Ranger Division (en français Division des Patrouilleurs du Texas. C’est une agence de police d'État, basée à Austin dans l'État du Texas, aux États-Unis.

Arkansas, son père reçoit l'autorisation de la Nouvelle-Espagne de faire venir au Texas 300 colons anglo-saxons


NAISSANCE DE L’ARMÉE DES RANGERS DES ÉTATS-UNIS

Avec le début de la Deuxième Guerre mondiale, des Bataillons de Rangers ont été formés et devaient avoir la même spécialité de formation que les commandos britanniques et la guérilla. La tâche de la formation de ces hommes était sous la responsabilité du Major Général Lucian Truscott. Truscott a estimé que cette nouvelle unité méritait un nom différent de celle des commandos britanniques. Il a choisi les Rangers après le célèbre Roger Rangers du français et Guerre indienne en 1756. Les Rangers de Rogers sont qualifiés d'excellentes tireurs d'élite.

CONDITIONS POUR ENTRER DANS UNE DES ARMÉES DES RANGERS

Le candidat doit avoir atteint l'âge de 18 ans et vouloir s'enrôler dans les Forces canadiens.

e nombreux Rangers remplissent leurs tâches militaires en poursuivant leurs activités personnelles comme la pêche ou la chasse.(DONC DES ESPIONS)


Tous les Rangers reçoivent un fusil Lee-Enfield no 4 et des munitions. Ils peuvent aussi obtenir une trousse de premiers soins, un GPS (système mondial de localisation), une boussole et un appareil radio à ondes courtes en s’adressant à leur Groupe de patrouilles.

Les Rangers reçoivent jusqu’à 12 jours de solde par an en plus de la rétribution de tâches officielles des FC. Les Rangers reçoivent aussi un dédommagement pour l’usure de leurs véhicules personnels quand ceux-ci servent à des activités officielles. Enfin, les Rangers qui sont associés comme instructeurs au Programme des Rangers juniors peuvent être rémunérés pendant un maximum de 21 jours par an.

Il n’y a pas d’âge de retraite obligatoire pour les Rangers canadiens. Les Rangers peuvent servir tant qu’ils en sont capables physiquement et mentalement. En fait, c’est un Ranger qui a en ce moment les plus longs états de service continu dans les Forces Armées.


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ANNEXES

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CIA EUGÉNISTE

DROGUE POUR DÉPEUPLER

En 1980, en Bolivie, la CIA a participé au renversement d'un gouvernement réformiste démocratiquement élu et à l'installation d'une junte militaire de droite. Marquée par des arrestations en masse, la torture et les assassinats, cette prise de pouvoir est mieux connue sous le nom de " coup d'État de la cocaïne ", en reconnaissance de la coopération ouverte des caïds boliviens de la cocaïne dont avaient bénéficié les nouveaux dirigeants. En 1988, devant la sous-commission sénatoriale du sénateur Kerry sur le terrorisme, les narcotiques et les opérations internationales, des témoins ont fourni des preuves de l'existence d'un important trafic de drogue dans lequel la CIA et du personnel gouvernemental, de même que des dirigeants gouvernementaux et militaires d'un certain nombre de pays latino-américains, étaient impliqués.

Des agents secrets de la CIA avaient utilisé les fonds venant du trafic de la drogue pour financer des armées contre-révolutionnaires dans toute la région et, dans certains cas, se remplir les poches.


La drogue comme arme de contrôle social

Outre financer des guerres et se remplir les poches, les drogues sont utiles comme instrument de contrôle social. Comme les drogues ont été de plus en plus répandues aux États-Unis, la consommation a spectaculairement augmenté. La demande peut engendrer l'offre, mais l'offre engendre aussi la demande. La première condition pour la consommation est la disponibilité, et que le produit soit amené devant le public en quantité abondante. Il y a un demi-siècle, les communautés des quartiers pauvres urbains étaient autant dans la misère qu'elles ne le sont aujourd'hui, mais on n'y consommait pas autant de drogues, parce que les narcotiques n'y étaient pas déversés avec autant d'abondance et que leur prix n'était pas aussi accessible qu'aujourd'hui. Ceux qui veulent légaliser le haschich devraient spécifier " le haschich " plutôt que d'utiliser le terme-générique de " drogues " parce que, pour beaucoup, cela veut dire du crack, de l'ice, des PCB, de l'héroïne et d'autres drogues dures qui ont causé un grand nombre de victimes dans les communautés. Il ne serait pas impossible de gagner une guerre internationale contre la drogue si les États-Unis acceptaient un effort concerté et s'ils amenaient des pays comme le Pakistan, l'Afghanistan, la Thaïlande, la Colombie, le Pérou et la Bolivie à être aussi acharnés à combattre leurs trafiquants de drogue qu'ils ne le sont avec leurs paysans, leurs étudiants et leurs travailleurs qui se battent pour des améliorations sociales. La politique américaine est bien moins intéressée à lutter contre la drogue qu'elle ne l'est à utiliser la drogue et les trafiquants de drogue dans la guerre éternelle de l'empire pour le contrôle social à l'intérieur et à l'extérieur. Tout comme les anciens nazis se sont révélés utiles dans la guerre contre le communisme, les trafiquants de drogue (dont certains sont liés à des organisations fascistes) le sont pour la CIA. " Si la CIA devait prendre pour cible les réseaux internationaux de la drogue ", écrivaient Peter Dale Scott et Jonathan Marshall dans Cocaine Politics (La politique de la cocaïne) en 1991, " elle devrait démanteler des sources principales de renseignements, d'influence politique et de financement indirect de ses opérations dans le tiers monde ". Cela signifierait ni plus ni moins " qu'un changement total de direction pour l'institution ". Pendant qu'il faisait de grands discours sur la lutte contre la drogue, le président Reagan a réduit d'un tiers les fonds pour l'application de la loi fédérale qui vise à combattre le crime organisé. La Drug Enforcement Administration a été diminuée de douze pour cent de ses capacités, impliquant le renvoi de quatre cent trente-quatre de ses employés, dont deux cent onze agents. Le nombre des garde-côtes a été réduit, impliquant une moindre surveillance côtière du trafic illicite. Le personnel du département américain de la Justice a été diminué de façon radicale, y causant une pénurie d'avocats qu'il employait et le forçant à laisser tomber soixante pour cent du nombre des procès concernant la drogue et le crime. Tout ceci a amené l'enquêteur criminel Dan Moldea à décrire la politique de Reagan sur les drogues comme " une imposture " et le membre du Congrès Tom Lewis à se plaindre en ces termes : " Nous n'arrêtons que du menu fretin, de petites gens. Pourquoi n'arrivons-nous pas à coffrer les gros bonnets ? " L'administration Bush Sr n'a rien rétabli de ce qui avait fait les frais des coupes budgétaires de Reagan et n'a développé aucune nouvelle stratégie pour faire de la lutte contre la drogue un véritable combat. En fait, Bush a réduit les patrouilles frontalières américaines déjà fort clairsemées, amenant le New York Times du 7 août 1989 à conclure : " Le montant proposé par l'administration Bush pour l'année budgétaire 1990 aurait pour effet de réduire encore le faible nombre d'agents (anti-drogue) le long des frontières. " Comme dans tant d'autres domaines de politique publique, l'administration Clinton n'a rien fait d'extraordinaire en matière de lutte contre la drogue.


Au milieu du XIXe siècle, quand les Britanniques ont introduit d'énormes quantités d'opium en Chine, ce ne l'était pas en réponse à une demande des Chinois. Pour les Britanniques, c'était une manière ignominieusement commode de DÉPEUPLER la Chine.


Ces conservateurs qui veulent légaliser les drogues, semblent étrangement peu loquaces sur les effets destructeurs de la drogue. On peut comprendre qu'ils préfèrent bien plus voir des jeunes sans revenus immobilisés par l'épidémie de drogue que mobilisés par la lutte pour une redistribution des ressources publiques au profit de la population. Ils préfèrent que les jeunes des quartiers ne parlent pas de révolution - comme l'ont fait ceux d'une génération précédente en rejoignant les Young Lords, les Blackstone Rangers ou les Black Panthers - mais soient plutôt occupés à se détruire eux-mêmes avec des seringues et les uns les autres avec des armes à feu.

Les drogues sont un instrument important de répression et de contrôle social. Les impérialistes britanniques le savaient et il en va de même pour les faiseurs d'opinion conservateurs, la police, la CIA et la Maison- Blanche. De Harlem au Honduras, l'empire utilise n'importe quel moyen à sa portée pour garder des populations tourmentées dans la démoralisation et la désorganisation.





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