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mardi 17 janvier 2012

Lord Durham, gouverneur de la colonie en 1838.


Lord Durham, gouverneur de la colonie en 1838.


extraits tirés de : Le complot contre le Québec

1759, capitulation de Québec dans des circonstances louches, alors que trois armées françaises presque intactes sont resté en plan. Autre fait louche: Montcalm et Wolfe auraient appartenus à la franc-maçonnerie....

Aussitôt après, des loges militaires anglaises commencent à initier parmi les "occupés", vieille tactique coloniale qui se répète partout ailleur dans l'empire britannique...et qui se pratique encore par les "alliés" présentement en Iraq et en Afghanistan...

1764, Dès le premier numéro du premier journal The Québec Gazette/La Gazette de Québec, une annonce attire l'attention. Le 21 juin 1764, on invite les lecteurs à participer à la fête maçonnique de la Saint-Jean d'été. Pour 5 shillings, on peut se procurer des tickets chez le Frère Prentice.

1771, le supérieur des Sulpiciens et seigneur de Montréal, Étienne Montgolfier, révèle la présence à Montréal d'un important groupe de francs-maçons francophones : "Nous avons un grand nombre de Francs-maçons dans cette ville. Il y en avait quelques-uns, mais en petit nombre et cachés, sous le gouvernement français. Plusieurs de nos négociants ayant passé en France au temps de la révolution [c'est-à-dire au lendemain de la Conquête] pour y arranger leurs affaires, s'y s'ont laissé séduire. La liberté du gouvernement présent leur laisse celle de se manifester; et plusieurs ne craignent pas de le faire".

1763-1791, Deux loges de francs-maçons francophones se distinguent: la loge St Peter's No 4, composée d'anglophones et de membres de la noblesse francophone. Cette loge sera par sa composition plutôt conservatrice au plan politique. La seconde loge est celle des Frères
du Canada dont les membres proviennent de la bourgeoisie. Les frères du Canada souscrivent aux buts que poursuivent, à l'époque, les esprits démocrates mais sans avoir jamais remis en cause le lien colonial. Ils annoncent le mouvement des patriotes puis celui des réformistes des débuts de l'Union. Comme quoi les origines du gouvernement responsable sont lointaines. Ainsi ont-ils soutenu ce que le siècle a apporté d'essentiel sur le plan politique.
Les membres de la loge St-Paul contrôlaient aussi la magistrature et le conseil législatif, une assemblée non-élue qui avait à l'époque le dernier mot en matière de lois.
Parallèlement, la société Saint-Jean Baptiste voit le jour. Cette société était à l'origine maçonnique, politique et révolutionnaire.

Louis-Joseph Papineau aurait été initié en France à la Francs-maçonnerie . Outre sa signature maçonnique, il entretenait aussi une correspondance avec le GODF (selon le musée du Grand Orient). Ludger Duvernay était lui-aussi un FM et les Patriotes de 1837-39 étaient membres de la société secrète des Frères Chasseurs.

Après le coup d'état de 1837/39 contre le Parti Patriote (et non rébéllion car ce sont les anglais de la loge Doric qui ont tiré les premiers).

L'Église décide d'investir la SSJB pour en évacuer et cacher tout l'aspect maçonnique et révolutionaire. On en profite aussi pour faire de la St-Jean un fête religieuse, ce qu'elle n'avait jamais été auparavant (la façade).


Après cet épisode, Londres envoi au Québec John George Lambton (lord Durham) qui était alors le Grand Maître de la Grande Loge d'Angleterre (10). Il propose un système de collaboration en donnant des postes avantageux à ceux qui "crient le plus fort" pour acheter ainsi leur collaboration au "système". C'est le principe de la "petite loterie" coloniale...
Avec la Confédération est proposée la création de loges provinciales relevant d'une grande loge fédérale. C'est la structure qui prévaut encore aujourd'hui. Faut-il préciser que la maçonnerie s'est toujours adaptée aux transformation des structures politiques et au redécoupage des états

L'Institut Canadien fut fondé en 1844. La plupart des membres faisaient partie de la loge maçonnique Odd Fellows (12). Le rite maçonnique présidait à l'initiation des recrues de l'Institut. Les plus notables politiciens de l'époque en faisaient partie: A.A Dorion, Éric Dorion, Joseph Doutre, Rodolphe Laflamme (membre de la loge Jacques-Cartier de Montréal) et Wildfrid Laurier.

Cet institut canadien donnera ensuite naissance à une importante loge francophone, soit "La loge des Coeurs-Unis #45" en 1870. Les premières assemblées de "Coeurs-Unis" eurent même lieux dans les locaux de l'institut canadien. L'allumage des feux de cette loge avoisine la date de création de la confédération canadienne. Probablement que l'on sentait le besoin de disposer d'un réservoir de sujets loyaux à Sa Majesté, en effet, le symbolisme du nom de la loge se réfère aux coeurs français et anglais que l'on souhaitait voir "unis" sous le chapeau de la franc-maçonnerie(13).

Par exemple, nous savons que le premier ministre du Québec en 1873, Gédéon OUIMET (14), était aussi vénérable maître des "Coeurs-Unis". Fait assez remarquable compte tenu qu'il était un conservateur et un ultra-montain et donc un allié de Mgr Bourget, ennemi farouche de la franc-maçonnerie... Cette loge "Coeurs-Unis" (qui existe toujours) donnera ensuite naissance en 1896 à la Loge L'Émancipation, rattachée au GODF.
1936, l'affaire Tardif: à l'occasion des funérailles d'un certain Joseph Tardif, simple conducteur de locomotive au Canadien National mais soutout un franc-maçon à la loge Dénechau, le journal The Gazette dévoile que trois ministres ont envoyés des télégrammes de condoléances; soit T-D Bouchard (ministre provincial du commerce), Hector Authier (ministre de la colonisation) et Hector Laferté (président du conseil législatif)...

La petite fille du Dr. Maillet, la romancière Andrée Maillet a quant à elle été membre en 1943 de la loge des frères chasseurs avec Pierre Elliot Trudeau..


En 1926, l'ordre de Jacques Cartier voit le jour. Mieux connue sous le nom de "Patente", elle aurait été fondée par un franc-maçon (20) selon le chef maçonnique J-Z Léon Patenaude qui était lui-même un des membres les plus en vu de cet ordre (21). Le but avoué de cette société secrète était de défendre les intérêts des francophones catholiques notamment dans la fonction publique fédérale qui était alors dominée par des orangistes anti-francophones. Cependant, 40 ans plus tard, lors de l'annonce de la dissolution de L'OJC, la brochure Serviam de juillet/août 1966 écrira:

"Les grands chefs de L'OJC ont, pendant des années exploité la crédulité de leur "initiés" sous prétexte de combattre les ennemis des canadiens français catholiques. Tout ce qu'ils ont produit, au point de vue pratique, c'est un recul des canadiens français, un long retard, mais par contre une ascension du ces grands chefs vers de hauts postes et de plantureux fromages qui font leur fortune et leur ont été donnés par l'"ennemi".
Après avoir obtenu ce qu'ils désiraient,---l'argent, la gloire et une puissance devenue éphémère---ces grands chefs de l'OJC ont dissous l'Ordre; laissant en plan, gros Jean comme par-devant, leurs naïves victimes. On parle du réveiller l'Ordre. Sera-ce pour engraisser encore les grands chefs tombés dans la nullité

Les membres de la Patente venaient de tous les milieux et de toutes les classes de la société canadienne-française, plusieurs appartenaient à des partis politiques comme l'Union nationale, le Bloc populaire, le Crédit social ou à l'Action libérale nationale. L'Ordre était d'une neutralité politique absolue, et apolitique sur le choix de ses membres d'appartenir ou non à une formation politique. C'est ainsi que l'on retrouvera dans les années 40, plusieurs hommes politiques du Parti libéral (députés, sénateurs).

L'adoption du fleurdelisé comme drapeau officiel du Québec en 1948 fut aussi l'oeuvre de la Patente.(22) Plusieurs personnages important ont été membres de la patente: Jean Drapeau, maire de Montréal (et plus tard médaillé du GODF), André Laurendeau (qui mena la lutte contre Duplessis au journal Le Devoir en autres), ainsi que Bernard Landry et Jacques Parizeau, tous deux futur PM du Québec...(23)

1943: le sénateur et franc-maçon T.D Bouchard fonde l'Institut Démocratique Canadien. Cet institut fera la promotion active de toutes les idées maçonniques habituelles, comme par exemple le monopole de l'État dans l'éducation et l'interdiction des écoles libres (24). Bref tout ce que l'on a maintenant au Québec. Jean-Charles Harvey était un membre notoire de cet institut démocratique. L'IDC sera le précurseur de L'Institut Canadien des Affaires Publiques, un autre organisme lié à la franc-maçonnerie, puisque administré par J-Z Léon Patenaude comme on le verra plus loin.

1954: Première conférence annuelle de L'Institut canadien des affaires publique. Le nom de Pierre Elliot Trudeau figure sur la liste des conférenciers.
En fait, toute l'opposition à Duplessis était fédérée à l'époque dans un groupe qui se nommait "Le Rassemblement". Le journal "l'Unité Nationale" d'octobre 1956 notera que: "Toute la collection s'était trouvée réunie, à la célébration du deuxième anniversaire de "Vrai". Il y avait là les hautes sommités du régime Drapeau-Desmarais-Plante, du "Devoir", de "Cité Libre", de "La Réforme", de la Moralité, ou Civisme, du Cercle Juif-Français, les commentateurs et questionneurs de Radio-Canada, les chefs socialistes de Québec, les progressistes de la CTCC, les publicistes de la thèse Dion-O'Neill, les catholiques de gauche..."

Il faut noter que de toute cette clique, la plupart finiront soit membres du club ultra-sélect des Bilderberg ou recevront une médaille du Grand Orient de France comme on le verra plus loin.

Il faut savoir qu'a peu près toute l'élite québécoise de l'époque donnera des conférences au Cercle Juif... 1955, 12 avril, 3e conférence mondiale de l'Organisation Internationale ouvrière juive du "Bund" à Montréal. Orateurs pour la circonstance: Mme Thérèse Casgrain, cheftaine socialiste de Québec et Claude Jodoin, président du Congrès des Métiers et du Travail du Canada.

1961, rencontre secrète du groupe Bilderberg à St Castin.
1963: Date importante dans l'histoire maçonnique du Québec. En effet, cette année là, J-Z Léon Patenaude se fait initier à la loge "L'Étoile Polaire" du GODF à Paris et fonde aussitôt la Ligue des Droits de l’Homme (maintenant la Ligue des droits et libertés), un paravent maçonnique avec comme membres: Bernard Landry, Pierre-Elliot Trudeau, Henry Morgentaler ainsi que le journaliste, romancier et FM notoire Jean-Charles Harvey

1965, La même année, Jean Lesage PM du Québec, est invité à une réunion secrète du groupe Bilderberg.

1967, le cardinal Léger reçoit le prix "famille de l'homme" du B'nai Brith.

1968: réunion du Bilderberg au Québec. Sont présents à la réunion en même temps: Jacques Parizeau, futur premier ministre péquiste du Québec, Trudeau (!) et Claude Ryan, éditeur du Devoir et futur chef du "NON" au référendum de 1980 (!!). On voit bien ici que le PQ n'est qu'un faux parti nationaliste et que le référendum de 1980 n'aura servi que d'un prétexte pour justifier le rapatriement de la constitution avec comme but ultime de faciliter le libre échange (mondialisation) d'autre part (de la drogue ---- Mexique).

1970, Mgr Irénée Lussier, ancien recteur de l'université de Montréal, lut l'évangile et prononça l'homélie lors d'une rencontre commune des membres de la loge maçonnique des Coeurs Unis qui fêtait ses cent ans et des Chevaliers de Colomb.

1971, le PM du Québec Robert Bourassa se rend secrètement à une rencontre du groupe Bilderberg au Vermont.

1974, le grand Orient de France fonde aussi à Montréal la loge Montcalm. Plus tard cette loge organisera en 1985 une remise de médailles maçonnique dont les récipiendaires seront le premier ministre René Lévesque, le maire de Montréal Jean Drapeau, le sénateur Jacques Hébert et Pierre Desmarais II qui fut l'imprimeur du journal d'Hébert(30). La Presse du 9 mai 1985 relatera d'ailleur la rencontre de Lévesque avec le Grand Maître du GODF...

1976: René Lévesque donne un discours devant le Council on Foreign relations de Chicago peu avant son élection.

1978: Congrès mondial de la Ligue Universelle des francs-maçons à Montréal. D'après la liste des participants, (dont le congrès avait lieu dans les locaux du Club Canadien), on retrouve parmis les noms, en plus des membres de la loge Montcalm des dirigeants de loges francophones de la Grande Loge du Québec, de la Société St-Jean Baptiste, du club Rotary, du Club Richelieu, de la Grande Loge du Canada en Ontario ainsi qu'un éminent prêtre catholique du Québec...

1983, rencontre secrète du groupe Bilderberg à Montebello, Québec. Pierre-Elliot Trudeau, PM du Canada en est l'hôte.

1985, fondation à Montréal du CORIM, soit le conseil des relations internationale de Montréal. Cet organisme est en fait la succursalle locale du Council on Foreign Relations, un organisme contrôlé par les Rockefeller. Selon le registre des entreprises du Québec, la Fondation Bronfman finance aussi ce CORIM.

1991, Jacques Parizeau se déclare en faveur d'une monnaie nord américaine.
La même année, la jounaliste Lysianne Gagnon du journal La Presse participera à une réunion du Bilderberg.


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NOTES.

(1) Generals Wolfe and Montcalm, The Montreal Gazette Saturday, July 5th, 2003.
Le Grand Maître du Grand Orient de France: La franc-maçonnerie n'est ennemie de l'Église que parla volonté du Vatican
La Presse - 1985-05-12. extrait de l'article: "M. J.-Z.-Léon Patenaude, qui a coordonné le programme de la visite du grand maître du Grand Orient de France au Québec et qui assiste à l'entrevue, mentionne de son côté d'autres noms: Montcalm, Lévis, Wolfe, Louis-Joseph Papineau, Arthur Buies, Honoré Beaugrand, Jean-Charles Harvey."
(2)D'une mère partie à la patrie canadienne: archéologie du patriote au XVIII siècle,p.13, Bernard Andrès.
http://www.erudit.org/revue/vi/2001/v26/n3/201559ar.pdf
(3) La franc-maçonnerie sous le régime français État de la question. ROGER LE MOINE. Cahiers des dix, 1989.
(4) Francs-maçons francophones du temps de la «Province of Quebec» (1763-1791), ROGER LE MOINE, Cahiers des dix 1993
(5) La Patrie, 12 mai 1934, page 40
(6) entrevue radiophonique avec l'historien Jean-Claude Germain à l'émission de Jacques Languirand diffusée en 1996:
http://minilien.com/?AfDRl4ppKc
(7) Jacques G. Ruelland (2002), La Pierre angulaire. Histoire de la franc-maçonnerie régulière au Québec, Montréal, Éditions Point de fuite.
(8) Selon les recherches du Prof Luc Baronian
http://minilien.com/?p7T20Cqw4z
Références : ARCHAMBAULT, Flagscan, PAULETTE
(9) selon l'article de J-Z Léon Patenaude reproduit ici
http://complotquebec.blogspot.com/2006/04/lorigine-maonnique-de-la-saint-jean.html
(10) http://www.durhamfreemasons.org/Reference/PenshawMonument.pdf
(11) KELLY, Stéphane, La petite loterie. Boréal, 1997
(12) Gérard Langlois, "Documentaire anti-maçonnique", 1942/43 page 91
(13) Burger Beaudoin, "Petite histoire de la franc-maçonnerie au Québec", Louise Courteau éditrice, 2009, p.57
(14) Liste des passés-maître de la loge coeurs-unis
http://www.coeurs-unis45.org/passes-maitres.html
(15) Le Grand Orient de France dans le contexte québécois (1896-1923) / Roger Le Moine. Dans: Combats libéraux au tournant du XXe siècle, Montréal, Fides, p [145]-157.
(16) Deux loges montréalaises du Grand Orient de France / Roger Le Moine. Ottawa : Presses de l'Université d'Ottawa, 1991
(17) Le fasciste canadien, nov 1935 et The Gazette 26 oct 1935, p. 1
(18) Montreal Gazette, 10 avril 1936, page 4
(19) Fonds François J. Lessard, centre Lionel-Groulx et Messages au "frère" Trudeau, Éditions de ma Grand-Mère, 1979
(20)Les francophones dans la Franc-Maçonnerie, LE DEVOIR 17/6/87
(21) http://site.rdaq.qc.ca/CRLG/images/p30.htm
(22) Le Devoir Samedi, 25 mars 1989, "La Patente" et la justice sociale, J.-Z.-LÉON PATENAUDE
(23)http://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_de_Jacques-Cartier
(24) L'Action Catholique, 4 juillet 1947 page 4
(25)MARCEL RIOUX, Entre l’utopie et la raison Montréal: Les Éditions Nouvelle Optique, 1981 page 49.
(26)Source bibliothèque et archives nationale du Québec, catalogue iris pour Institut démocratique canadien.
(27) Unité Nationale, Avril 1955 et Montreal Gazette, 7 avril 1955, p.17
(28) The Montreal Gazette - 1er Juin 1959, p.1
(29) Humanisme, revue du Grand-Orient de France, décembre 1975,
extrait: "L'Emancipation souhaitait améliorer l'instruction publique chez les Canadiens français. Les Maçons réclamaient entre autres la création d'un ministère de l'Education, l'enseignement gratuit et obligatoire et des salaires convenables pour les instituteurs."
(30) J-Z Léon Patenaude et l’histoire. La Sarre, Édition privée, 1993
(31) Annuaire Lovell de Montréal, 1964/65 pour le 3405 St-Denis, page 579
(32) "L'Action Laïque", journal officiel de la "Ligue Française de l'Enseignement", du 7 mars 1963. Lire aussi l'article du journal "l'Action" du 19 août 1966, p.4: "Le M.L.F. affilié à une ligue maçonnique de France"
(33) selon l'auteur Raynald Rouleau: " En 1963, sous la direction d'Alexander King (plus tard co-fondateur du Club de Rome, dont Maurice Strong sera membre) l'Organisation de Coopération et Développement Économique (OCDE) ont produit un rapport qui a servi de base pour une «réforme scolaire» dans tous les pays industrialisés visant, par exemple, à remplacer l'enseignement de la géométrie par les maths modernes, et l'étude du Grec et du Latin par l'étude des existentialistes français. Ici, au Québec, cette réforme a coïncidé avec la création du Ministère de l'Éducation, (une bataille entre l'église catholique et la franc-maçonnerie.) Voir La Presse du 11 nov. 1963 -- une série en 5 parties défendant La Grande Loge de Québec."
(34) Pierre Virion, bientôt un gouvernement mondial, éditions Saint Michel, 1967.
(35) L'action, 19 sept.1967 page 5
(36) Montreal Gazette -28 fev, 1967, p. 26
(37) L'Artisan - Sep 6, 1967, p.4
(38) The Montreal Gazette - Nov 20, 1967, p.3
(39) DANS LE SECRET DE CE TEMPLE, La Presse, perspectives, 8 mai 1976
(40) Catholiques et francs-maçons au Québec, Le Devoir, 3 avril 1976
(41) Francis Marais, La Franc-maçonnerie dévoilée, De Mortagne

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